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L'éducation de l'Esclave de Plaisir

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L'éducation de l'Esclave de Plaisir Empty L'éducation de l'Esclave de Plaisir

Message  Neige Ven 1 Fév - 13:34

La formation d'une esclave de Plaisir est longue et laborieuse et peut prendre plusieurs semaines de formations vois plusieurs mois en fonction de l'éducation désirée par le marchand d'esclave ou le Maître.

L'éducation se fait chez un marchand d'esclave et est réalisée par une kajira éduquée dont c'est la fonction. Les filles sont placées sous ses ordres et la craignent. Un libre dresse mais d'éduque pas une esclave ou il est digne de porter le collier.

L’éducation d’une esclave, comme le dressage d’un animal, est en général une tâche difficile exigeant de la patience, du temps, de la perspicacité et de la sévérité. Sura possédait en abondance ces nombreuses qualités. Très souvent, surtout au début, Elisabeth regagna ma chambre, et Virginia et Phyllis leur cellule, en larmes, la peau irritée par l’aiguillon, découragées, convaincues qu’elles ne parviendraient jamais à satisfaire aux exigences de leur intraitable maîtresse. Puis elles faisaient quelques progrès et étaient récompensées par une parole gentille qu’elles ne pouvaient s’empêcher d’accueillir avec joie. Les techniques utilisées étaient relativement simples, tout comme celle qui avait été employée avec Virginia et Phyllis dans les cages, et les jeunes femmes comprenaient objectivement, rationnellement, la structure des méthodes appliquées; néanmoins, frustrées et furieuses, elles ne pouvaient s’empêcher, sur le moment, de réagir conformément à ce qu’on attendait d’elles. (Les Assassins de Gor)


La formation de l’esclave de Plaisir peut prévoir la cage de stimulation à fin de rendre leur sensibilité beaucoup plus aiguisée et exacerbée.

La cage de stimulation est une cage aux barreaux sculptés, basse de plafond ; elle est plutôt grande, en dehors du plafond bas, qui se trouve à environ un mètre cinquante du sol. La femme ne peut se lever sans baisser la tête en signe de soumission. Dans une telle cage, et pendant la formation, quand elle n’est pas dans la cage, la femme logée dans une cage de stimulation n’est pas autorisée à regarder les hommes dans les yeux, même les esclaves. Ceci est destiné, psychologiquement, à rendre la femme extrêmement timide devant les mâles. Lorsqu’on la vend, et seulement à ce moment-là, si le maître le souhaite, il peut lui dire : " Tu es autorisée à regarder ton Maître dans les yeux. " Quand, effrayée, tendre, timide, elle lève les yeux vers lui, s’il daigne lui sourire, la femme, joyeuse et reconnaissante, autorisée enfin à poser les yeux sur un autre être humain, tombe souvent à genoux devant lui, esclave en adoration. Quand elle le regardera à nouveau, son regard sera grave et elle baissera rapidement la tête, effrayée. " Je vais essayer de bien te servir, Maître ", souffle-t-elle. L’ameublement de la cellule de stimulation est conçu en fonction de l’effet qu’il produit sur l’esclave. Il y a des pinceaux, des parfums, du maquillage, des bijoux, des colliers, des bracelets, des anneaux, des bagues ; il n’y a pas de vêtements ; il y a également des coussins, des cuvettes en cuivre et des lampes en étain. Surtout, il y a également des surfaces de textures diverses, une épaisse couverture, des satins, des soieries, de la laine de kaiila grossièrement tissée, des brocarts, du reps, des couvertures de cuir, un coin dallé, une fourrure de sleen, des tissus ornés de perles, des nattes de roseau, etc. L’objectif de ceci est d’aiguiser les sens de l’esclave, nue à l’exception de son collier et des parfums, produits de maquillage ou bijoux qu’elle porte conformément aux directives de son instructrice, afin qu’elle éprouve et ressente avec une vigueur exceptionnelle ; les sens et la peau de nombreux êtres humains sont, en fait, morts au lieu d’être aiguisés et sensibles à des centaines de différences subtiles de température, d’ambiance, de surface ou d’humidité, par exemple. Une femme dont les sens et le corps sont vivants est, naturellement, beaucoup plus passionnée que celle dont les sens et le corps dorment. La peau elle-même, chez une femme entraînée, devient un organe sensoriel magnifique et merveilleusement subtil. La moindre parcelle de l’esclave, si elle est correctement formée, est vivante. Cela a pour objectif, naturellement de la rendre plus sensible à la caresse de son maître. Lorsqu’elle s’abandonne à lui, les entrailles déchirées par l’amour qu’elle éprouve pour lui, c’est naturellement, une esclave beaucoup plus satisfaisante. Ces humiliations, bien entendu, ne sont pas infligées aux femmes libres. On leur permet de traverser la vie les yeux mi-clos, pour ainsi dire. C’est ainsi qu’elles préservent leur dignité. Parfois frigides, il arrive que les femmes libres goréennes hurlent de colère, ne comprenant pas pourquoi leur compagnon les a abandonnées pour aller à la taverne ; là, naturellement, pour le prix d’une tasse de Paga, il peut avoir une fille vêtue de soie, avec des clochettes : une esclave ; la femme libre doit s’opposer à son compagnon, dénonçant ses désirs ; cependant, les filles douces, aux yeux noirs, sensuelles, des tavernes sont trop occupées pour cela ; elles n’ont pas le temps de dénoncer les désirs des clients de leur maître ; elles sont trop occupées à les servir et à les satisfaire. L’instructrice dirige la femme dans la cage, ou dans les exercices, s’occupant, observant, prescrivant, la transformant avec compétence en un animal domestique sensible, une esclave goréenne, avec son collier, asservie, capable de rendre un homme fou de désir, puis de servir ce désir, vulnérablement, fréquemment et absolument. La femme fut traînée dehors, entre les deux gardes. (Les Tribus de Gor)


La formation de l'esclave de Plaisir est un véritable conditionnement pour que leur corps finisse par bouger inconsciemment de façon à plaire aux hommes. L'esclave de Plaisir apprend à exprimer dans leurs mouvements, le plus souvent subtils, le désir, la passion, l'obéissance à la caresse du Maître, des mouvements qui suscitent la jalousie et la haine des femmes libres. C’est à ses mouvements qu’on distinguera si une esclave a été éduquée ou non.
Au court de la formation, les hommes peuvent être présents, leur présence stimulant et insistant les filles à donner le meilleur d’elle.

Le conditionnement était subtil autant que grossier car il ne se limitait pas à la combinaison d’un système de punitions et de récompenses; on inculquait également aux jeunes femmes une image et une conception d’elles-mêmes. Cela commença, sous une forme rudimentaire, dans les deux premières semaines de leur éducation. Pendant la première semaine, curieusement, les élèves ne faisaient que rester à genoux, dans la position de l’Esclave de Plaisir, pendant plusieurs ahns par jour, devant un grand miroir. Pendant cette période, elles ne portaient que leur collier et, dans le cas de Phyllis et de Virginia, l’anneau qu’elles avaient à la cheville gauche. Le but de cet exercice, c’est du moins ce qu’Elisabeth et moi supposions, était d’accoutumer les jeunes femmes à se considérer comme des esclaves. Pendant la seconde semaine, agenouillées de la même manière, elles avaient dû répéter la phrase rituelle suivante : " Je suis une esclave. Je suis une esclave. Je suis une esclave." Virginia et Phyllis, par la force des choses, le faisaient en anglais et Elisabeth en goréen. Au cours de la troisième semaine, l’enseignement devint un peu plus subtil; Flaminius rendit visite aux jeunes femmes pendant les cours et leur exposa, d’abord en anglais puis, par la suite, en goréen, certains points d’histoire, les droits naturels, les catégories d’êtres humains et les relations entre les sexes. L’objectif de ces discours était naturellement, de les convaincre que ce qui leur était arrivé était conforme à certaines lois de la compétition entre les espèces, des conflits et de la domination, de l’ordre justifié de la nature. Elles étaient les femmes d’hommes inférieurs qui s’étaient montrés incapables de les protéger; on pouvait vaincre de tels hommes lorsqu’on le souhaitait; leurs femmes appartenaient à ceux qui pouvaient s’en emparer, aux vainqueurs; en conséquence, elles étaient esclaves par nature; ce type d’asservissement avait toujours existé et existerait toujours; il était juste et bon en tant qu’esclaves par nature, elles devaient consacrer toute leur énergie et toute leur intelligence à procurer du plaisir à leurs maîtres; il y apparaissait également une forte dose de supériorité masculine et une conception goréenne très répandue, justifiée par de nombreux arguments, selon laquelle les femmes sont, par nature, des esclaves, méritent leur sort et ne sont pleinement satisfaites, heureuses, que lorsqu’on les considère comme telles. (Les Assassins de Gor)


Durant leur formation, L'esclave de Plaisir apprend à se mouvoir, comment bouger, marcher, entrer dans une pièce (il est fait référence à une centaine de façon de faire), parler, manger, les soins de beauté. On lui enseigne la danse et elle peut même apprendre à chanter et à jouer de la musique. Elle est aussi instruite sur la décoration et les fleurs, la disposition des tapis. Tout ça en plus des taches ménagères qui incombent aux esclaves de la tour : la cuisine, la couture, l'entretien des effets du Maître, et autres... Elle est aussi, bien évidemment éduquée au plaisir des hommes.

L’éducation des esclaves se poursuivit. Elle en arriva, après une période entièrement consacrée aux exercices, à des éléments tels que l’attitude, la démarche, la manière de s’agenouiller, de s’allonger, de manger, de boire. La grâce et la beauté, suivant Sura, et je ne mettrai pas en doute sa compétence sans ce domaine, sont avant tout une question d’expression du corps aussi bien que du visage. (Les Assassins de Gor)

Je constatai toutefois avec satisfaction qu’Elisabeth apprenait de nombreuses choses qui, de mon point de vue, étaient beaucoup plus nécessaires à une esclave, notamment de nombreuses danses, des douzaines de chansons et une incroyable quantité de caresses et de baisers différents. Les diverses techniques de son répertoire, qui la rendait théoriquement capable de procurer des plaisirs délectables à n’importe qui, de l’Ubar au Paysan, sont beaucoup trop complexes et élaborées pour qu’il me soit possible de les exposer ici. Toutefois, je ne crois pas en avoir oublié une seule. (Les Assassins de Gor)


Comme pour les bêtes de concourt, l'escalve de Plaisir est aussi soumise à un régime alimentaire strict qui à pour but de transformer son corps.

- Les filles qui reçoivent une éducation ne mangent-elles donc pas le gruau ? Demandai-je.
- Les filles qui reçoivent une éducation, expliqua Ho-Tu, ont droit aux meilleures céréales. Elles dorment sur des nattes et, plus tard, sur leurs fourrures. Elles sont rarement enchaînées. On leur permet de temps en temps de quitter la maison, sous bonne escorte, afin que le spectacle d’Ar les stimule et les rende joyeuses.
(Les Assassins de Gor)

Leur nourriture changea également avec les progrès de leur éducation et la perspective de mets variés, savoureux, ainsi que, parfois, d’un petit bol de vin de Ka-la-na au souper les poussait à s’appliquer. (Les Assassins de Gor)



LES QUESTIONS (Formatage)

Qu'es-tu ?
Je suis une esclave.
Qu'est-ce qu'une esclave ?
Une femme achetée.
Pourquoi es-tu marquée ?
Pour que l'on sache que j'ai été achetée.
Quel est le plus grnad désir d'une esclave ?
Plaire aux hommes.
Qu'es-tu ?
Je suis une esclave.
Quel est ton plus grand désir ?
Plaire aux hommes.

(les assasins de Gor)

Qu'est-ce que tu es ?
Une esclave, Maître.
Qu'est-ce qu'une esclave ?
Une femme possédée.
Es-tu une esclave ?
Oui, Maître.
Dans ce cas, tu es possédée.
Oui, Maître.
Qui te possède ?
Ulafi de Schendi
Qui te dresse ?
Shoka de Schendi
As-tu une marque ?
Oui, Maître
Pourquoi ?
Parce que je suis une esclave.
[...]
Quel est le premier désir d'une esclave ?
Donner du plaisir aux hommes,
Qu'est-ce que tu es ?
Une esclave,
Quelle est ton premier désir ?
Donner du plaisir aux hommes !

(les explorateurs de Gor)

L'esclave éduque, le Maître dresse.


Dernière édition par Neige le Lun 11 Aoû - 21:00, édité 2 fois
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Message  Ikyriota Ven 1 Fév - 15:23

Excellent exposé qui devrait être transcrit en RP... Je me rends compte (et j'ai surtout RP sur des sims anglos) que personne ne sait vraiment RP avec les kajirae.

D'abord, la kajira est réservée aux hommes, elle fuit les FW au maximum. Les hommes manifestent toujours un fort intérêt pour leurs kajirae, ils aiment entre eux comparer les performances de leurs filles, les évaluer, etc etc. On prête volontiers sa propre kajira pour honorer un hôte... La kajira, paradoxalement, c'est un univers d'hommes.

Or, on assiste parfois à des situations totalement incongrues : Telle lady promenant en laisse, une fille en silks. Telle lady donnant des cours aux kajirae ou étant slaver (là, on marche sur la tête).

Et ne parlons pas de toutes ces kajirae chouchoutées et traitées en objets précieux, des frees attentifs à leurs bobos... Pas crédible

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Message  Tazzman Ven 1 Fév - 15:45

Alors là, je plussois a 1000%

Dans le peu de livre que j'ai lu, les femmes librent haïssent les Kajirae ... Elles leur "volent" leur libre compagnon et pas plus tard qu'hier, j'ai pu assister à cette scene d'une femme libre, seule dans la jungle, tenant en laisse une petite.

De plus cette derniere ( la femme libre ) a eu l'audace de me "manquer de respect" Rolling Eyes ... N'etais-je pas en droit de la reduire à l'esclavage ?

Sauf erreur de ma part, une femme libre ne se promene jamais seule car elle devient vite une esclave. Cette règle devrait à mon avis être un peu plus respecté. Les femmes libre ne devraient pas se promener dans la jungle sans escorte et surtout ne pas se moquer des hommes, même au sein des murs de la cité.

Il y a des ecrits de Norman qui disent que même les femmes libres se mettent a genoux devant leur libre compagnon, certes dans l'intimité, effectuent les taches de nettoyage et de cuisine, au même titre que les Kajirae.

Mais bon ... ceci reste mon point de vue et toutefois il serait enrichissant que les femmes libres jouent elles aussi beaucoup mieux leurs rôles.
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Message  Ikyriota Ven 1 Fév - 16:25

Sur Cardonicus où j'aime RP, j'ai été kajira... Kajira sur une sim anglo, croyez moi, c'est très difficile.... En fuite et capturée, j'ai été salement torturée.

Mon maître ne pouvant se défendre de m'aimer, m'a affranchie, afin de ne pas montrer de faiblesse envers une esclave, en étant amoureux d'elle. Il a fait de moi une femme libre, et je suis avertie : Tout faux pas dans cette cité, et ce sera de nouveau le collier et la vente.

Je sais ainsi que je dois par ex, en toutes circonstances, me plier aux ordres des guerriers. Désobéir à un guerrier me demandant par ex, de me mettre à l'abri, peut me valoir un collier.
J'ai aussi été avertie qu'un guerrier peut exiger que je m'agenouille et lui témoigne de la déférence et du respect (on ne parle bien entendu pas de nadu...), je dois obéir.

La femme libre est très respectée, mais elle doit veiller à ne pas se montrer insolente et insulter un homme libre. Dans les livres, des FW s'amusent à narguer, provoquer, insulter Tarl Cabot. Elles le font toujours du fait de leur position (fille d'ubar ou femme riche) et parce que Tarl est alors, en position d'étranger. MAis ca se termine mal pour elles Smile Le goréen libre est un homme vindicatif Smile

Par contre, un truc que j'observe, en tant que FW, je suis condamnée à serrer les poings quand les kajirae lèchent les bottes de mon futur FC, alors que lorsque j'étais kajira, je pouvais librement leur rentrer dans le lard, haha !

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Message  Neige Lun 11 Aoû - 21:00

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